mon jeu ne s'accorde plus, ma pierre ne coule pas. à l'espace qui me lie, s'accouple et me délie je dis que
je n'ai rien vu
je n'ai rien vu
longtemps encore, ou très longtemps
très à la marge ou sur l'épaule d'un dos
essuyai-je l'averse
très à la marge ou sur l'épaule d'un dos
essuyai-je l'averse
je renais de mes cendres, à quelques cendres près. si pour moi rien n'existe, n'existe rien pour moi
eau de cervelle, vide le sceau et vide la pelle. ne me contredis pas cette fois ne me
contredis plus
contredis plus
on s'en va et on oublie. on s'en va bien quand même
je me suis laissé dire que c'est mort. je me suis laissé dire que c'est pas une raison. je me suis laissé dire qu'une chute semblable
je n'arrête pas d'y penser. je n'arrête pas de m'en, te de m'y, soustraire
eh ben dis donc...
eh ben dis donc...
pourquoi tu ne t'arranges pas avec moi? pourquoi tu m'objectes que tu ne sais, grosse, y faire? hein, pourquoi?
la gloire est éternelle, oh la gloire éternelle, et la misère me tue.
mais putain transgresse ma vie, o dieu décapotable
mais putain transgresse ma vie, o dieu décapotable
comme qui dit quoi, qui dit mieux, je m'appelle adam, j'ai perdu toutes mes lèvres, et mes dents
la peur suinte au milieu
la peur suinte au milieu
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